En passant par ici, par hasard, je laisse quelques traces de mon pas...sage.

Curieuse de tout, et surtout de la vie en général ...   

 
J'aime ce qui vibre et qui fait du bruit, plutôt que ce qui est lisse et bien rangé. Je préfère l'effervescence, que le zéro défaut ...

Manger dans un bouchon Lyonnais, en Ardèche un fromage de chèvre...

Déguster un verre de vin avec un bon foie gras... Rire de l'absurde.

Jouer aux cartes avec des amis, mourir de rire, bivouaquer sous un ciel étoilé... écouter le silence, refaire le monde au coin d'un feu...

Faire du kayak en mer ou en rivière, apprécier la nature, se poser sur une petite crique, respirer, danser, rêver...

S'extasier devant un Picasso, faire du vélo, de la moto, découvrir et faire découvrir, s'ouvrir et déguster...

Apprécier un bon film, avoir de l'humour et garder le sourire...

Gros défaut, je ne fume pas, ne bois pas, mais je parle beaucoup...

Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent

aime comme si tu n'avais jamais été blessé

danse comme si personne ne te regardait

chante comme si personne ne t'écoutait

vis comme si le ciel était sur terre

Hier est l'histoire

demain est mystère

aujourd'hui est cadeau

c'est pour cela qu'on l'appelle présent....

oublie ton passé qu'il soit simple ou composé

participe à ton present pour qu'ensuite

ton futur soit plus-que-parfait.

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Plus je connais les hommes, plus j’aime mon chien. Plus je connais les femmes, moins j’aime ma chienne.

En cas de morsure de vipère, sucez-vous le genou, ça fait marrer les écureuils.

Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman.

Noël au scanner, Pâques au cimetière.

Plus cancéreux que moi, tumeur !

J’ai toujours eu un respect profond, presque craintif, pour la langue, la grammaire, la syntaxe, le vocabulaire et toutes ces conneries :

- Papa, on s’a fait violer.

- On s’est fait violer.

Que la vie serait belle si tout le monde doutait de tout, si personne n’était sûr de rien. On pourrait supprimer du dictionnaire les trois quarts des mots en « iste », fasciste et communiste, monarchiste et gauchiste, khomeyniste et papiste.

Quéquette en juin, layette en mars.

C’est totalement absurde les rappels.
Enfin, écoutez, dans la vie normale, dans la vie courante, quand un type a fini son boulot, qu’est-ce qu’il fait ? Il dit au revoir, et il s’en va. Voilà. Il ne revient pas : enfin, on n’imagine pas un plombier, par exemple, re-sonnant à la porte, après avoir réparé une fuite, juste pour refiler un petit coup de clé de douze.

L’élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime : « Je pense, donc tu suis. »

Pourquoi ? Pourquoi cette fausseté dans les rapports humains ? Pourquoi le mépris ? Pourquoi le dédain ? Où est Dieu ? Que fait la police ? Quand est-ce qu’on mange ?

L’amour… il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire.

Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin.

Vous avez reconnu, c’est Pierre Desproges

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"La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible "

Woody Allen

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