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Date : 09-01-2025 09:34:56
« C’est la mort d’un personnage qu’on déteste, parce qu’il était misogyne, raciste, négationniste, antisémite. Il faut célébrer quand les personnages aussi haineux meurent », a expliqué à l’AFP Louise Delporte, une étudiante en sciences politiques de 20 ans.
La presse étangère, beaucoup plus critiques que certains médias et hommes politiques français :
"de Jean-Marie Le Pen, on retiendra à jamais les odieuses saillies racistes et antisémites qui ont nourri son fonds de commerce pendant des décennies". Les chambres à gaz, par exemple, ramenées à "un détail de l’histoire" .
Joëlle Meskens dans son édito pour le journal belge Le Soir
Il a "brandi le spectre d’un nouveau fascisme, en fustigeant les Juifs, les Arabes, les musulmans, les autres immigrés — tous ceux qu’il considérait comme n’étant pas 'de purs Français'"
Le New York Times
Le quotidien belge Le Soir rappelle que des "ignominies ont valu à Jean-Marie Le Pen de multiples condamnations pour provocation à la haine, apologie de crimes de guerre et contestation de crimes contre l’humanité".
Voilà ce qu'était vraiment cet individu qui à justifié la torture contre ses semblables en Algérie.
"Sa disparition ne nous inspire ni larmes, ni hommage, ni éloge" 
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