Et c'est pô fini !!!

Auteur : Titan83  

Pour la nouvelle année combien de voitures de particuliers vont bruler nos gentilles racailles dans la nuit du 31 décembre ?
Chaque année le record est battu.
Faut bien respecter les traditions.

Auteur : Hakili  

Il n'y a aucun "couvre feu" prévu de manière indiférenciée par les services de l'état.
C'est quelques communes du Bas-Rhin, dont Stasbourg et en tout six autres communes, qui ont décidé d'instaurer des règles strictes pour éviter les débordements habituels. Ces règles s'appliquent principalement aux mineurs.
Il s'agit là d'une décision locale, peut être justifiée mais en tout cas sans portée nationale, qui fait la une des médias d'extrême droite tels que Cnews ou Valeurs Actuelles, toujours prompts à susciter les peurs et agiter les haines comme certains le font ici.
Pour ce qui est des confinements, voir leur justification à postériori sur le topic dédié aux morts du Covid. Sans les différentes formes de confinements (qui ont eu lieu de partout dans le monde) il est évident que la mortalité aurait été beaucoup plus importante.
Ca ce sont les chiffres qui le démontrent.

Auteur : Titan83  

Vaccinez vous cela n'a jamais protégé du virus de covid 19 seulement enrichir les laboratoires pharmaceutiques. De plus les vaccinés ont plus ou moins des effets secondaires, thromboze, AVC, arrêt cardiaque et cancer turbo.

Auteur : Alice95  

Relax Titan bonne année 2025

Pour le 983 Foutaise ...

Auteur : Hakili  

Toi tu changes pas hein Juan. Je parie que l'an prochain tu seras aussi sot que cette année.

En Italie, l'édition du 12 décembre 2024 de La Verità va faire couler beaucoup d'encre. À la Une, le titre donne le ton : "Le vaccin n’a empêché ni les infections ni la transmission du virus". On y apprend aussi les décisions du gouvernement Meloni en faveur de la liberté vaccinale.

Les partis Frères d'Italie (celui de Giorgia Meloni) et celui de la Ligue n'ont jamais fait mystère de leur opposition aux restrictions sanitaires pendant la crise du Covid-19. En Italie, sous Mario Draghi, les contraintes sont allées jusqu'à l'obligation vaccinale, sous peine d'amende. Ainsi, les plus de 50 ans et les professionnels de santé qui refusaient de se faire vacciner devaient payer 100 euros.

Lorsque Giorgia Meloni est arrivée au pouvoir, les soignants non-vaccinés ont été réintégrés. Et, mardi dernier, le gouvernement italien a annulé les amendes infligées précédemment.

Sur la Une de La Verità, on lit qu'il s'agit là de rejeter une "injection de pur fondamentalisme idéologique". Selon le gouvernement actuel, "cette obligation était illégitime et non scientifique". "En abolissant les sanctions, on a remédié à un abus de pouvoir, à une atteinte à la Constitution", ajoute-t-il.