Il serait temps qu'ils se réveillent la haut en haut lieux ... en
AUGMENTANT les impôts et surtout en rétablissant l'ISF ...
entre autres ...

Comment ne peut on pas adhérer ... à moins d'être un "gros richard"

RN : marche arrière toute !
La mère à chats et son gendre ont décidé de s’intéresser à l’économie.
Bon... ils débutent...
Avec de belles surprises comme le retrait de plusieurs mesures étiquetées « sociales » (C'est pénibles les pauvres !):
- À commencer par la réforme de l’assurance-chômage. Jordan Bardella assurait encore qu’en cas de victoire, il reviendrait sur cette réforme « injuste ». C’était il y a seulement trois mois. Et ce n’est plus cas. Allez bosser feignasses !
- Le même sort a été réservé à la proposition de baisse de la TVA (de 20% à 5%) sur les produits énergétiques (gaz, électricité, fioul, carburants…). Le RN en avait fait une mesure phare. Titan nous a tellement rabâché que c’était LA SOLUTION de tous les problèmes
- Idem sur l’emploi des seniors : la formation d’extrême deoite entendait faire des plus de 55 ans des « travailleurs protégés ». Plus maintenant. Allez bosser un peu les vieux !
- Stop aux éoliennes (quel plaid que l’écologie !) mais plus de centrales nucléaires (Macron en veut 6 de plus, le RN… 20 de plus ! La France rurale sera encore plus belle)
Tout une série de mesures favorables au patronat sont maintenues en bonne place : baisse des impôts de production sur les entreprises, via la suppression de leur contribution foncière (CFE qui a rapporté 9 milliards € l’an dernier), exonérations de cotisations pour les boîtes qui augmenteraient les salaires de 10 %, création d’un fonds souverain…
Bref vive les riches PDG.

C’est beau l’économie chez les frontistes. Un petit pas en avant et puis hoù là... un grand bond en arrière.

Voilà bien les preuves qu'ils sont tous "à la pêche aux voix" ... ensuite
retournement de veste ...

Et il y en a encore qui se demande pourquoi l'ABSTENTION

C'est qui les extrêmes les mêmes mécréants que les non extrêmes
je vois pas de différence ...
La peur vous êtes tous des couillons