C'est vrai, il n'est doux qu'avec les femmes aux cheveux ROUX tressés à l'indienne. Avec elles il a du doigté. Il commence par les embrasser derrière l'oreille, dans cette zone chatouilleuse où elles sont encore des petites filles, tout en leur touchant la peau délicatement du gras du pouce. Un frôlement arachnéen qui leur arrache des petits cris sauvages.
Oui très juste, sur le COUP le frangin va faire beurk en voyant les poux, mais ça ne va pas le décourage, il va continuer à faire glisser ses doigts le long de la clavicule de sa partenaire afin d'atterrir en douceur sur le bout de ses seins, cette partie d'elle qui les galvanise autant l'un que l'autre.
Non, il ne va pas lui faire paf de suite car ça transformerait la sauterie en grand FLOP, il va d'abord la pétrir de ses deux mains pour faire durer ce moment d'avant jouissance qui fait s'entrechoquer chaque particule du corps, et seulement après il enfouira son engin dans l'étroit passage sombre de sa vulve. C'est comme ça qu'il pratique le frangin et pas autrement !
Ah oui le pétrissage ! c'est une étape importante en cuisine ; il faut bien fariner aussi et .... toujours se méfier du LOUP qui rôde quand on prépare une galette avec un petit pot de beurre !
Oui fifille, écoute Sergio, ferme ta porte à double tour car on n'est pas au BOUT de nos peines avec le loup, il est passé entre les gouttes du grand recyclage de l'après-guerre de 1945 et le voilà qui rebondit !